Philippe Roth
Philippe Roth.
Portnoy et son complexe : lu trente page, puis me suis endormi comme une merde. Jamais réouvert.
Le complot contre l'Amérique : Lu en entier. Bien sur 90% du livre, extrêmement fromager au final.
J'ai épousé un communiste : Lu 100 pages avant de le projeter contre un mur en hurlant "ta gueule Philippe Roth arrête de raconter ta vie, tout le monde s'en fout de savoir que machin chose a animé je ne sais quelle émission oubliée à la radio pendant deux mois ! T'écris un livre sur le Maccarthysme, on s'en tape de ton nombril ! ON S'EN TAAAAAAAAAAPPPPPPPPPEEEEE !"
Philippe Roth c'est une sorte de Vincent Delerm du roman américain. Même quand il parle de trucs intéressants, il finit par commencer toutes ses phrases par "je"+[jugement sur un truc de pop culture dont on se fout]
Qu'on ne me parle plus de Léa Sihlol, j'ai dépensé 3€50 pour acheter La Sève et le Givre qui est tout ce que je déteste dans la "fantasy d'avant garde" (c'est comme ça qu'on dit ?). Prétentieux, emberlificoté, éthéré, ça ne raconte rien, et de manière tellement tortueuse qu'absolument rien de ce qu'on lit ne semble avoir de portée ni de conséquence.
C'est verbeux.